lundi 18 décembre 2017

Feuilles de Michael Fenris

Résumé : A Hope Falls, petite ville du Canada perdue au milieu d'une immense forêt, les feuilles des arbres se mettent soudain à tomber sans fin, envahissant la ville jusqu'à la recouvrir dangereusement. Ici tout le monde travaille pour Vernon Krueger, un personnage douteux qui déforeste sans scrupule. Incrédule, son bras droit Jed est pourtant le premier à constater l'étrangeté de la situation. L'inquiétude s'empare peu à peu des habitants, à mesure qu'ils perdent tout contrôle sur des événements qui semblent de moins en moins naturels. Bientôt coupés du monde par l'invasion de feuilles, les habitants de Hope Falls, médusés, plongent dans un enfer auquel ils vont devoir survivre coûte que coûte.

Mon avisCe roman a été trop moi une bonne surprise ! Ce roman m’a fait un peu pensé au style de Stephen King ! Un roman qui vous consume, un poil oppressant !
Cette histoire ce passe à Hope Falls, une petite ville près de la frontière canadienne entourée d’une immense forêt. Cette petite ville appartient pour la majeure partie au maire de la ville un peu scrupuleux, Vernon Krueger ! Dans le renfoncement de la ville vie une tribu indienne les Anishinaabe, dont le maire de la ville aimerais déloger pour pouvoir récupérer leurs terres, car Vernon Krueger n’ai pas que le maire de la ville, ne possède pas que la majorité de la ville, il possède aussi une grosse usine de déforestation et de trafic de tronc d’arbre.
Le personnage principal, Jed Lafkin, le bras droit du maire, va faire une étrange et macabre découverte ! Un de ses collègues est retrouvé dans la forêt, mort, étouffé par dix kilos de feuilles dans son organisme !
Quand arrive l’automne les feuilles tombent mais, il se passe un étrange phénomène, les feuilles ne cesse pas de tomber, atteignant des mètres ce qui isole complètement la ville du reste du monde !
En conclusion, ce roman ne laisse jamais au lecteur une minute de répit ! J’ai vraiment aimé le style de Michael Fenris. Avec une fin qui n’en est pas vraiment une, une fin qui nous laisse en suspend, une fin qui fait travailler nos méninges. L’auteur a une imagination folle, est même s’il laisse un peu mot pour préciser que ce roman n’a rien à voir avec l’écologie, pour moi pendant tout le roman je n’ai pas arrêté de penser cas ça ! Comme on dit : « La nature, reprend toujours ses droits ! ». Un premier livre pour l’autre et un livre qui qu’il faut livre absolument ! Un vrai coup de cœur ! 😊  

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